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A Mas Coop ça va ! Nous avons décidé de nous considérer comme un seul foyer ! Nous continuons à nous voir, à nous croiser aux machines à laver, à jardiner ensemble etc mais nous ne nous embrassons plus. Nous avons mis en place des règles :

– lavage des mains dès qu’on entre dans la maison commune.

– désinfection des poignées de portes, interrupteurs, et boutons et poignées des machines à laver plusieurs fois par jour.                                                                                                        – pour nos apéros nous restons à 1m des uns des autres (heureusement qu’on a de la place !) et nous ne piochons plus dans le même bol de cacahuètes, mais préparons des assiettes individuelles.

On prépare un apéro du 13 en live facebook, et pour l’occase on va enfin prendre le temps de tourner une vidéo de présentation !

Pour permettre aux parents de télé-travailler, nous organisons des petits ateliers pour les 4 enfants de 2 à 4 ans, parfois les repas des petits se font chez les uns ou les autres et heureusement il fait beau et nous avons un beau jardin !

Au niveau de l’entraide nous avons proposé notre fonctionnement d’achat à nos voisins (mot dans leur boite à lettres, aucune réponse) et pour l’AMAP/groupement d’achat, Stéphanie n’a pas récupéré que nos paniers hier mais ceux de notre zone qu’elle a livré (soit 6 de plus). 

Nous sommes inscrits sur une page FB d’entraide de notre village.

Juste avant le confinement et pour toute sa durée, nous avons accueilli la sœur d’une voisine qui était seule à Toulouse et un jeune maraîcher (stagiaire chez Pierre Besse) qui vit à Toulouse mais à qui notre voisin prête des terres afin qu’il puisse faire ses semis (notre piscine est en partie sa serre !) lui loge dans une chambre d’ami.

Depuis le confinement nous avons eu 3 contacts pour le logement vide !

Nous apprécions cette transition écologique accélérée, et espérons que de bonnes habitudes vont en découler, il parait qu’il faut 21 jours pour prendre une habitude 😉

« Ce virus rend palpable l’isolement, et ce besoin de liens sociaux, de solidarité, qui passe entre autre par de nouvelles formes d’habiter »